Une Ivoirienne abandonne son époux à Bruxelles – Le cri de c

Encore une qui croit qu’elle est arrivee. La pauvre, du jour au lendemain, elle va se retrouver sans papier. Qu’elle peut etre conne cette fille et elle n’est pas la seule, il y a de nombreuses filles qui font la meme chose. Un bon conseil si ce moyen vous tente : restez au moins 2 ans avec le mec, le temps d’avoir tous vos papiers EN REGLE ( nationalite ou carte de 10 ans) avant et sans ces papiers (pauvre titre temporaire), ce sera difficile et c’est vraiment de la stupidite !…

Une Ivoirienne abandonne son époux à Bruxelles – Le cri de cœur de son époux blanc
L’intelligent d’Abidjan – 08/01/2005
Fatou Fabienne Seck a-t-elle voulu mettre en pratique des conseils de Godra et Gazou la doubleuse du magazine satirique Gbich ? On est tenté de répondre par l’affirmative tant son époux un Belge ne sait à quel saint se vouer. Yves a bravé les canons pendant la guerre de six jours pour venir chercher en Côte d’Ivoire celle qui est aujourd’hui l’objet de son malheur. Voici l’histoire de Fabienne Seck et Yves V. digne d’un film Hollywoodien.

Ceci est la narration d’une histoire hors du commun mais aussi triste et tragique que Yves. V. a commencée à vivre dans la nuit du 12 au 13 novembre 2004, à son retour d’Abidjan en Côte d’Ivoire. Il n’a cependant pas été victime des événements violents qui débutèrent l’après-midi du 6 novembre 2004. Son seul préjudice en Côte d’Ivoire fut qu’il dut y laisser, en sécurité, ses bagages – par contre de retour à Bruxelles, il a eu à subir un préjudice ô combien plus important.

Yves se trouvait en Côte d’Ivoire, où il était arrivé le 31 octobre 2004, à 19 heures 15, par le vol de la Brussels Airlines. Il était allé retrouver l’élue de son cœur, Fatou Fabienne SECK, une belle jeune femme. C’était elle qu’il allait épouser comme prévu le 6 novembre à la mairie de Treichville Abidjan, là où elle avait vu le jour 25 ans plus tôt.

Fabienne, il la connaissait déjà depuis novembre 2003, ils étaient en parfait accord. Tout de suite cela avait “flashé”, elle voulait venir en Europe, mais les visas furent refusés et fin septembre il fallut bien se résoudre à la solution imparable, aller se marier avec la femme qu’il aimait en Côte d’Ivoire ; ce procédé obligeant de façon absolue l’administration belge à accorder le droit de séjour à Fabienne.

Fabienne il l’appréciait, il lui envoyait des courriers, il lui téléphonait au moins deux fois par jour, il lui a payé son permis de conduire, un GSM et même sa robe de mariage. Yves lui dit dès lors que cet achat officialisait leur amour. Il lui donnait un peu d’argent car elle allait souvent à l’ambassade de Belgique où elle était à tu et à toi avec le personnel ; avec l’administration, par contre, elle subissait humiliations sur humiliations.

C’est donc dire combien Yves V. était ravi d’arriver dans la moiteur d’Abidjan ce 31 octobre 2004 et d’être accueilli par Fabienne et son frère, Donald, d’une façon délicate et attentionnée. Elle était tellement belle qu’il ne savait que faire. Il s’est dit aussi qu’ils avaient attendu presque un an pour cet instant. Il est plus âgé que Fabienne mais de suite, elle lui donna son amour.

Les premiers jours furent très agréables. Ils allèrent en taxi à Grand-Bassam, ils se promenèrent aussi sur les plages proches d’Abidjan puis, le mercredi 3 novembre le ciel s’obscurcit avec les premières escarmouches, mais cela ne les empêcha pas de mener à bien les formalités du mariage fixé au 6 novembre. Puis, ainsi que le veut la coutume, pendant 36 heures, Fabienne partit se préparer dans la discrétion pour la cérémonie de mariage.

Il ne la revit splendide – que le 6 novembre à 15 heures 30 et ils contractèrent mariage devant Mme KOFFI, 3ème Adjoint au Maire de la municipalité de Treichville.

Le mariage terminé, Mme KOFFI leur dit de partir au plus vite, des troubles ayant commencé à Abidjan. Ils partirent donc en voiture de cérémonie vers le "Baron" un lieu destiné aux fêtes mais sur la route, il y avait un barrage avec des types agressifs. Voyant un toubab ils s’excitèrent encore plus et commencèrent à secouer la voiture et à tenter de les molester. Yves eut alors l’idée d’exhiber son passeport belge. Ce qui les calma immédiatement.

Vu le danger croissant Donald, le beau-frère leur trouva une cache dans un hôtel en service réduit à quelque 500 mètres du "Baron". Leur nuit de noces fut épique : mortiers, rafales, mitrailleuses, hélicoptères tournoyaient sans cesse dans les environs ; mais Fabienne fit preuve d’un grand courage et d’une foi inébranlable afin qu’ils soient sauvés de la situation délicate où ils se trouvaient. Le 7 novembre fut encore plus difficile : plus de courant : les patriotes avaient fait sauter les transfos du BIMA et ils ont dû rester cloîtrés toute la journée. Vers 20 heures la mère de Fabienne arriva dans une ambulance ivoirienne laquelle les conduisit au BIMA sous la protection française.

Là ils ont été enregistrés. Fabienne a été admise comme mariée à un ressortissant de l’U.E. par l’officier de garde qui a très longuement examiné le livret de famille et qui a accepté l’entrée de Fabienne.

Vers 23 heures ces formalités étaient finies. Ils ont reçu à manger ainsi qu’un matelas pour dormir. Le matin (08/11) ils ont changé de local. Fabienne était stressée mais normale. Ils "s’emmerdaient" des heures durant en recevait deux morceaux de pain, eau, biscuits, deux fois par jour, ils était libres d’aller de faire des photos ; au camp elle parlait avec des mecs français qui l’appelaient Fatou et semblaient friqués et être dans les affaires. L’un d’eux s’occupait de parfums : Joël – il a donné un flacon de parfum Noir Désir à Hervé Yves et à Fabienne ainsi qu’un portable NOKIA dont il n’avait plus l’usage; l’autre s’appelait Denis, les 2 étaient plus âgés qu’Hervé.

Les officiers et soldats étaient très corrects et serviables : il y avait des milliers de personnes, les hélicoptères passaient sans arrêt au-dessus de leurs têtes, des dizaines de camions roulaient en faisant un vacarme assourdissant, on aurait pu se croire dans le film Apocalypse Now qui montre la guerre du Vietnam. Il a fait une douzaine de photos. Bref, c’était la grande folie durant 3 jours.

Le 11 novembre à 6 heures, Hervé apprend que les autres Belges de leur local (6 ou 7) étaient en attente pour une évacuation en avion militaire hollandais vers Dakar puis Eindhoven en Hollande. Il est allé dire à Fabienne de se préparer sur-le-champ, elle était naturelle et elle a été même naïve en lui demandant si elle pouvait se doucher. Il lui a dit non : les places sont comptées ; il faut partir d’urgence et elle a accepté ils se sont inscrits chez les Hollandais et ont décollé vers 9.30 h, 10.00 h pour Dakar où ils étaient à midi.

Elle a dit alors, après avoir été contrôlée par l’ambassade de Belgique, qu’elle allait se tresser car elle avait des copines à Dakar. Elle a donc téléphoné vers 14 heures ou 14 heures 30 et à dit à Yves de ne pas s’inquiéter, que ça allait prendre du temps, au moins une heure et qu’il devait se promener en attendant. Comme 3 heures après elle n’était pas là, il a commencé à s’inquiéter. Après, tard dans la soirée, elle est revenue, il n’a pas fait de "scène" mais a marqué son irritation d’être resté seul. Cela l’a un peu énervée et rendue boudeuse, mais elle était normale et parlait de tout et de rien surtout qu’elle disait qu’elle n’aimait guère le Sénégal. Ils sont allés au resto et il lui a offert une rose, ils sont rentrés pour dormir. Ils étaient fatigués et énervés. La nuit fut normale et il se sont préparés pour la phase deux du retour dès 6 heures.

Le 12 novembre, ils sont partis en car de l’hôtel vers l’aéroport de Dakar très proche, l’avion militaire hollandais a décollé à 10 h 40 et ils ont été fortement contrôlés et enregistrés ; le vol fut normal. Toutefois, comme ça durait plusieurs heures, Fabienne a discuté avec quelques autres passagers. Ils sont arrivés vers 17 h 30 à Eindhoven/Hollande et ont subi le choc thermique : 6° au lieu de 30° à Dakar !!. Ils ont été une fois de plus contrôlés : elle n’avait ni visa, ni passeport et on les a fait attendre 20 minutes pour que le chef de la police lui octroie un visa Schengen Benelux (pas valable en France !! ) de 7 jours, mais le visa figure avec la vignette classique sur une simple feuille de papier "A4" avec une photo ; est marqué sur le document en néerlandais ce qu’elle doit faire : aller s’enregistrer d’urgence à la commune de résidence.

Fabienne est mariée pour la Côte d’Ivoire mais Yves demeure non marié pour la Belgique puisque rien comme légalisation, transcription n’a pu être fait : ils avaient juste une autorisation de se rendre en Belgique ce qui fut fait par un autobus militaire qui les a conduits d’Eindhoven à Melsbroeck, à 25 kms de Bruxelles. Ils étaient là vers 20 h 30 et Yves avait prévenu un copain : Frank qui les y attendait.

Vers 21 heures 15, ils sont arrivés à Bruxelles chez eux, il lui a même fait ouvrir la porte de l’immeuble, tout ça dans un froid glacial pour elle, mais elle avait reçu un anorak chaud à l’aéroport. Il sont montés et un autre copain est arrivé vers 22 h 00. L’appartement avait été un peu négligé par la sœur de Yves. V qui avait délaissé les animaux leur donnant peu de nourriture, et il n’était pas aussi propre qu’il l’espérait. Le chat avait laissé des cartes de visite dans la chambre et la sœur n’avait rien fait, ce qui a pu un peu la surprendre. Yves était en colère. Fabienne lui disait de se calmer et qu’ils arrangeraient tout plus tard .Elle posait beaucoup de questions, demandait où étaient les couverts, admirait les oiseaux et regardait la TV. Les 2 copains sont partis vers 22 h 30 les laissant seuls.

A 23 h 19 elle a passé un coup de fil d’une dizaine de minutes sur un portable en France ; il pu savoir le numéro qu’elle avait appelé, le : 00336… (pour des raisons de sécurité nous ne révélons pas le numéro). Il était à proximité mais n’a pas prêté attention à cet appel téléphonique puis, vers minuit, elle lui dit qu’elle devait aider des Ivoiriens pour une affaire d’assistance aux réfugiés. Yves s’est dit que ces types avaient été prévenus suite au 1er coup de fil, ils étaient près d’une gare et ne savaient pas où ils étaient. Effectivement, cela a pris une demi – heure avant que les gars n’arrivent chez Yves ce13 novembre vers 1 heure du matin. Yves ne savait rien de ces gens sinon qu’ils ont garé leur voiture, (qu’il n’a pas vue), à environ 60 mètres de l’immeuble . Il a pu également, par la suite, prendre connaissance du numéro de portable qui a sonné chez lui : 00336. Elle a aussi téléphoné, sa meilleure amie en Côte d’Ivoire. Comme, par la suite, il a rappelé le 1er numéro, il a pu noter le nom du détenteur du portable : un certain Jacques. M. Il fait des recherches sur Internet et ai appris que J. M. habite à Charenton-le-Pont où il s’occupe d’une association : Aigue Marine, J. M, promet l’aide aux malades, la fabrication de DVD pour les malades, l’assistance, les problèmes en rapport avec la maladie d’Alzheimer et il participe à des séminaires dans les hôpitaux et à des expositions comme EXPO-MEDICA 2004.

Les gens qu’elle devait contacter et qui venaient avec la voiture ont donc appelé vers 1 heure du matin. Elle était normale et voulait se doucher ou faire revenir les gens le samedi 13 novembre au soir. Yves étais irrité de cette affaire et il trouvait embêtant que des inconnus viennent au milieu de la nuit pour ces problèmes. Fabienne, elle, lui posait des questions sur telle ou telle photo, sur ceci ou cela qu’elle voyait, sa vie ici avait bel et bien commencé. Le samedi ils avaient prévu des courses puisqu’elle n’avait plus de vêtements. Yves devait aussi aller chez le garagiste où il avait laissé sa voiture. Ils devaient donc se lever tôt.

Vers 1 heure 15, le 13 novembre, l’on a sonné et il prête une veste militaire très chaude à Fabienne qui devait descendre pour faire la commission aux gens qui étaient arrivés. Elle était démunie d’argent et il n’a pas vu de paquet, de lettre ni petit objet, sans doute dissimulé dans son sac : pouvait-il s’intéresser à tout ce qu’elle faisait ou être jaloux ? Yves pensait que ce n’était pas une bonne chose. En effet, Fabienne lui avait avoué être sauvage et libre. En Côte d’Ivoire, on lui avait proposé du boulot comme mannequin, ce qu’elle refusa même si elle avait le look pour ça.

Ils commençaient à former leur nouveau couple, après avoir subi des d’événements stressants plus le choc thermique à l’arrivée où elle était frigorifiée. Yves était très énervé lui aussi, ainsi, à Dakar, à l’hôtel N’Gor, il fit observer à Fabienne qu’il ne comptait pas s’intéresser à ce qu’elle faisait ou qui elle voyait mais il souhaitait qu’elle lui donne un emploi du temps correct. Disant par exemple revenir à telle heure, être localisable par GSM. Elle avait des projets de boulot et voulait être autonome dès que possible par un petit boulot.

Donc elle est descendue et comme 10 minutes plus tard elle n’était toujours pas revenue, Yves. V est allé avec une torche pour voir et a fait des signaux de lumière afin de lui faire comprendre qu’elle devait rentrer. Comme rien ne se passait, il est allé à la hauteur du numéro 62 de la rue alors qu’ils habitent au 48, et là personne. Il faisait très froid et il est rentré, en colère. Il s’est dit qu’ils étaient allés boire un verre mais comme 30 minutes plus tard rien ne se passait et que Fabienne ne revenait toujours pas, il a commencé à s’inquiéter.

En outre, il ne trouvait pas son GSM, ni celui donné au 43ème BIMA par le Français Joël. Il avait offert un GSM en prêt à Fabienne, son Sony Ericsson T 68, mais quand elle a vu que le très récent K 700 (Sony Ericsson aussi) était nettement mieux avec ses propres photos et 65.000 couleurs en fond d’écran, elle a été séduite par cet appareil. Et l’a emprunté.

Se disant que le GSM était dans l’appartement et il a fait le numéro avec son téléphone fixe et c’est Fabienne qui a répondu en disant : “mais laisse-moi boire un café, laisse-moi un peu, je reviens dans 10 minutes”. Ce à quoi il a répondu : “je ne demandais pas un tel timing mais tu dois revenir vite, car les voisins sont irrités à cause du bruit dans la cage d’escalier, tu ne pouvais pas sortir sans moi avant d’être inscrite à la commune, tu n’es pas couverte pas l’assurance de santé”. Yves V. était irrité mais correct tandis que son épouse pu sentir qu’il voulait imposer son autorité sur elle. Ce qui était faux.

Par la suite le GSM est resté en ligne mais personne ne répondait, juste la sonnerie. Yves était aux aguets toute la nuit du 12 au 13 novembre. Fabienne avait ses deux puces répertoires GSM et il ne pouvais appeler personne. Vers 5 heures du matin la boîte vocale répondait et il était inquiet même s’il est avéré qu’elle ne connaissait pas son code PIN. Il a téléphoné sur son numéro quelque 30 fois et c’était toujours la boîte vocale, donc elle avait éteint le GSM ou, plutôt, quelqu’un l’avait fait pour elle car c’est un modèle très récent que seuls les possesseurs et connaisseurs avertis en GSM peuvent d’emblée éteindre. Bien qu’énervé Yves a conclu qu’elle n’utiliserait pas le GSM et ignorait le code de la puce.

Il s’est couché à 7 heures le 13 novembre, toujours sans nouvelles pensant qu’elle allait revenir car il savait qu’elle aimait “faire la fête”. A 10 heures il s’est levé et comme elle ne revenait pas il était de plus en plus inquiet. Il avait peu d’éléments si ce n’est connaître les appels sortants et entrants, ce qui est facile avec la technologie téléphonique. Alors, comme déjà dit, il a pu localiser les numéros de J.M et l’autre numéro où le ton était moins accueillant et dont le détenteur lui dit à un second appel “que sa fille avait eu à aider une autre fille habitant Bruxelles qui voulait rejoindre son fiancé aux USA et rallier Paris”. C’est, ce que lui a été donné comme explication, et ce 14 novembre au matin, J.M lui dit qu’il la savait “en sécurité” ce qui ne veut évidemment strictement rien dire car il ne connaît de vagues tenants et aboutissants de l’affaire. Et ignore que Fabienne est dans l’illégalité la plus totale.

Ses papiers sont non validés et que le visa octroyé en Hollande ne concerne que 7 jours de séjour ici en zone Benelux et pas le moindre déplacement possible aux USA où la surveillance des arrivants est encore bien plus stricte et hyper rigoureuse qu’a Bruxelles. Si elle veut être réfugiée aucune chance non plus : on va lui demander comment elle est arrivée en France et même si elle donne une fausse identité, elle sera recalée.

Au cours de l’après-midi du 13 novembre, elle lui a téléphoné mais elle n’a pas su qu’Yves savait automatiquement où elle se trouvait (zone : 00.33.1……..) ce qui signifiait un poste fixe à Paris, : 0033149. Elle lui dit “qu’elle avait déchiré le livret de mariage, laissait ses affaires ici et ne voulait plus vivre avec Yves”. Le malheureux époux belge a essayé de la calmer mais la communication a été coupée. Il était de plus en plus anxieux et ne comprenait plus rien à ce qui se passait.

Yves V. a fait passer les flics chez lui vers 13 heures le 13 novembre mais sans officialiser une plainte. Ils lui ont dit que ce genre de situation pouvait “faire péter les plombs” à n’importe qui avec ce qu’ils avaient subi et vécu depuis la fin du mariage à Treichville. Il est aussi allé chez un officier de garde plus compétent encore à leur police vers 18 h 30. L’officier lui a dit “vous n’êtes pas marié pour la Belgique, des cas semblables arrivent”.

Il doute que Fabienne puisse tirer profit de sa simple carte d’identité ivoirienne en France. Quant au visa de 7 jours il ne lui servira à rien car il est valable seulement dans les circonstances évoquées plus haut. Pour l’instant Yves ne sait pas où elle est, ce qu’elle fait. Elle semble être en rapport avec des gens déjà cités. Pourquoi a-t-elle disparu ? Quel est le but de tout cela… Les mails sont certes ouverts, mais par qui ? Elle ne répond pas à ses mails, elle téléphone à son frère deux fois en trois semaines quelques dizaines de secondes pour lui dire “qu’elle est en sécurité”…

Le 30 novembre, elle s’est manifestée et a envoyé un email ordurier et agressif tandis que l’après-midi du même jour, elle téléphonait, et s’est montrée incohérente. Cela n’est pas la Fabienne qu’il a connue et épousée à Abidjan le 6 novembre. Que se passe-t-il ? Est-elle dans les filets d’un réseau ? Que fait-elle chez des inconnus ? Comment se fait-il que des gens honorables ignorent les modalités d’un visa spécial de 7 jours et ce faisant favorisent le séjour clandestin ? Pourquoi certains numéros sont constamment sous boîte vocale et un pourquoi un autre numéro (0149196631), sonnant constamment occupé, semble avoir été "bidouillé" ?….

Par Charles Kouassi
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